DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ
- Rebond de l’Affaire Florence Jarrier
- PARIS RENIE SES ERREURS par Dan Albertini
- Entre (), le nazi avéré à Washington DC est-il protégé, mais par qui ? Fermons-les ().
Abjurer c’est un fait qui n’efface pas la mémoire, au contraire, cela nourrit le neurone. À agréer ce que de l’on se croit absout de façon cachée. Amnésie sélective volontaire même dans ce cas-ci inutile car la traçabilité numérique est plus tenace que policière, que dire de gendarme à Paris [pour répéter le menu connu de Louis de Funès dans les arts du cinéma]. Criarde d’une part, par Microsoft-app, et d’autre part de conventions internationales. Blanchiment d’argent, les sources aussi. Se pourrait-il que de ce pas, le diplomate français se perde en conjecture quand il s’agit du ministère de la Défense ou, que le cours de sciences comptables ne suive plus les maths à Paris, c’est-à-dire la notion d’imputabilité quand il s’agit de foi républicaine d’une classe de fonctionnaire. Florence Jarrier fait foi de mémoire d’éléphant, de résistance du roseau. Voici un bref rappel qui remonte à notre genèse dans ce dossier hérité de la chaine d’État (Canada), embarrassée du fait diplomatique avec la France sous Chirac, lequel président retraité condamné par sursis. Un nom réprimant à la Défense : M Alliot-Marie, histoire !
Y a-t-il vraiment un observatoire de…, à Paris ?
Voici le libellé de la note récente de Florence Jarrier sur la plateforme change.org que j’ai reçue : «pour mieux utiliser nos impôts, soutenons Florence Jarrier». Quel est le pourquoi de cette nouvelle initiative sinon qui est Florence Jarrier de Paris ?
De caractère français de Paris, victime née de machination criminelle au ministère de la Défense. D’après sa version élaborée publiée d’ailleurs sur sa plateforme network. Florence Jarrier met en relief l’ancienne version Réseau HEM (IP) à la même adresse. Faut-on se le rappeler, la presse locale (France) n’avait fait cas de ses revendications à l’époque. Les officiels des autorités concernées fuyaient nos questions. Mieux, pire, la résidence de l’ancienne fonctionnaire [puisque le plan machiavélique de l’en extraire (du ministère de tutelle) était déjà en marche], a été mise sous surveillance d’après les sources locales, avant de tenter de rentrer sur Paris par Genève-ONU où je vivais en ce temps-là, pour rencontrer Florence-J (code), les vigiles rôdaient la zone. J’ai remis le plan sine die.
Si le politique n’a même pas eu le souci de sa langue de bois, de la diplomatique pour le faux semblant, la victime déclarée, Florence-J en l’occurrence s’en va glaner sur la plateforme de change.org pour tenter de trouver justice. Dans ce Paris de scélérats !
Parcours d’une chronique médiatique
En publiant France de Saint-Quentin au G20 de Londres l’affaire Jarrier / mars 2009–Réseau HEM. Florence Jarrier s’attendait-elle à une action minimaliste du président N Sarkozy, à l’époque, dans le connaissement de son dossier forgé enfoui par plus d’un quintal de magouilles administratives et politiques de fonctionnaires corrompus à l’os, il fallait parler de paradis fiscaux, de système financier, d’actifs toxiques, et un élu de Londres prenait position dans l’affaire qui pénalisa cette fonctionnaire parisienne. S’il me faut remonter, mais un peu plus proche, en 2011, quand dans l’affaire connue en ce temps-là de Sofitel, j’ai publié La Justice américaine retient le passeport de DSK de peur qu’il ne s’échappe comme un vulgaire voleur. Et, cela n’est pas sans rappeler le cas différent de Florence Jarrier qui, voulant protéger les finances de la Ve Rép, s’est vu collée un dossier psychiatrique […] lui faire perdre ses droits fondamentaux dont celui de la dignité, du droit au travail. France-facteur commun, Paris lâcha DSK où l’on soupçonne l’expéditive Sarkozy qui, à son tour est encore chez Mr le juge.
Un peu plus récent j’ai publié dans l’autre affaire européenne, cette fois-ci dans le cas d’un abus systémique dénoncé par N Niklas, en évoquant les abus d’autorité. Suisse : le Tribunal fédéral commet-il un déni de justice – mars 2018 – où après avoir contacté les autorités concernées dans le cas ainsi cité : Narcisse Niklas raconte la Suisse abusive en Euro convention, citant l’affaire Jarrier, dans laquelle affaire Niklas où le plaignant soulevait, je le cite : «c’est Kafka, la dictature ou la folie administrative ?»]. En fait l’affaire se serait résolue après nos contacts avec les bureaux suisses concernés y compris celui du préfet de Fribourg, en l’occurrence Ridoré. Il y a eu plus d’eau… !
Florence Jarrier à Macron dans une note de presse du 8 février 2018, étalait une fois de plus son histoire avec un énième président qui d’après la note sur Change.org, ne lui aurait pas été salutaire. Car, si elle disait dans sa note, je cite : «je vous demande de permettre ma réhabilitation et mon indemnisation», se pourrait-il que le dossier soit encore sans issu quand de la presse française domestique ou peut-être domestiquée par le passe-droit avec le politique, comme une certaine agence de presse, l’omerta fait foi malgré de timides révélations. Et, voici le lien de l’extrait de l’article publié, affiché sur son compte web : http://petition.jarrier.free.fr/reseauhem.06avril2009.pdf.
Voilà donc Florence Jarrier réclamant encore ses droits ce, malgré l’universalité…
Pour mieux utiliser nos impôts, soutenons Florence Jarrier
Bonjour, Fonctionnaire civile au ministère de la Défense, j’ai refusé de participer à des détournements (voir documents) et j’ai géré avec rigueur un bureau de marchés économisant 8 millions d’euros en quelques mois (voir documents). À la suite de ces faits, j’ai été rétrogradée dans mes fonctions à deux reprises, ma notation et mon salaire ont été baissés. J’ai alerté le directeur de cabinet qui a demandé que je sois affectée à un poste remédiant à tous les dysfonctionnements, en réalité répression, subis dans le cadre du ministère. Mais ce dernier a quitté ses fonctions sans qu’une solution ne soit apportée à ma situation. Certains ont eu peur pour leur carrière. J’étais devenue encombrante pour le ministère qui a voulu me faire disparaître de ses effectifs. Des pressions ont été exercées sur mon fils mineur élève à l’École des Pupilles de l’Air par l’assistante sociale agissant pour le compte du service du personnel de l’administration centrale, via le médecin du travail et de prévention. In fine, j’ai été mise d’office 26 mois en arrêt de maladie pour raisons psychiatriques suite aux certificats du médecin du travail qui ne m’a ni convoquée ni vue. Puis le directeur du personnel m’a licenciée à 56 ans sans droit à indemnités de chômage ni retraite grâce à un dossier entaché de faux et de mesures discriminatoires. Il s’est arrogé le droit de statuer sur des questions médicales en lieu et place de médecins. Le comité médical n’a pas donné son accord pour mon licenciement. Aucun représentant du personnel n’a participé à ces mesures.
J’ai établi un recours devant les tribunaux administratifs et j’ai aussi porté plainte au pénal pour faux, usage de faux, discrimination et harcèlement. Je n’ai pas pu faire valoir mes droits en raison de lettres de la ministre de la Défense, Michèle Alliot Marie (voir documents) et de celle de son directeur de cabinet. Pourtant les deux mesures sont intervenues avant leur arrivée au ministère et ils ne pouvaient être témoins d’aucun fait. Manquant d’arguments pour justifier de ces écrits et de la situation, le pouvoir a voulu m’interner d’office grâce à des convocations anonymes auprès d’un hôpital psychiatrique et grâce à l’intervention de la police en vue d’un arrêté préfectoral (voir documents). Des repérages ont eu lieu dans mon immeuble pour introduire une équipe médicale désinformée. J’ai dû quitter rapidement mon domicile et j’ai contacté deux experts psychiatres assermentés – dont l’un compétent en cassation – qui ont attesté de ma parfaite santé mentale (voir document). In fine, aucun tribunal n’a examiné les pièces de mon dossier, excepté le tribunal administratif qui l’a fait au vu de la lettre de Michel Alliot-Marie sans respect du contradictoire.
La liste des pièces non communiquées par le ministère suffisait à elle seule à me donner raison devant les tribunaux. Il s’agit notamment :
– du rapport du médecin de travail et de prévention établi sans constatations de faits et initiant ma mise d’office en arrêt de maladie psychiatrique. Celle-ci ne m’a ni convoquée ni vue.
– des certificats du médecin de travail et de prévention établis eux aussi sans constatations de faits, transmis à des psychiatres afin qu’ils me mettent d’office en arrêt de maladie psychiatrique
– de la décision du Comité médical me mettant 11 mois en arrêt de maladie pour raisons psychiatriques, dont 8 à titre rétroactif.
Je me suis rendue au Grand Débat national le 13 mars 2019 lors d’une séance intitulée « Services publics de demain : lesquels supprimer, améliorer ou inventer ? » J’ai exposé ma situation. J’ai demandé aux organisateurs leur soutien et la remontée de mon histoire auprès d’Emmanuel Macron : il m’a été répondu de façon positive. Toutefois, à ce jour je n’ai pas eu de retour.
Un tel fonctionnement du pouvoir est lourd de conséquences pour moi, mais il l’est aussi pour vous. Pour financer les dépenses dues au covid et la transition écologique, il est impératif de favoriser au sein de la fonction publique des valeurs basiques fondamentales : l’honnêteté et la compétence. Je demande ma réhabilitation, une indemnisation et une retraite me permettant de vivre normalement. Merci de signer ma pétition. Pour plus d’informations, voir mon site internet http://florence-jarrier.net/. version PDF.
Le diplomate français d’E. Macron peut-il vendre ce dossier comme tel à l’étranger ?
Paris a régulièrement intérêt à résoudre ce problème avant un effet ‘reddit’ adapté, car cela convoquerait à nouveau en légitimité le compte Gilet-Jaune en bourse locale.